Élodie Parcours D’Une Ado En Chaleur - Partie 22

Dépitée, la chatte et l’anus en feu après les derniers assauts de ce porc de chauffeur,
Élodie descend enfin de la berline pour retrouver le confort de sa chambre :

-J’espère que tu vas me mettre une super note p’ti cul ! HA HA HA HA ….

Le chauffeur éclate de rire, la fenêtre ouverte, en s’éloignant du petit quartier
tranquille. Élodie ne peut retenir un doigt d’honneur en direction du VTC qui s’éloigne
dans la nuit. La pluie s’est arrêtée, et la gamine est transi de froid, nue sous le tissu
rêche et collant de son trench trempé.

***

Élodie rentre chez elle, grelottante, accroche son imper dans l’entrée et se précipite en
douce à la cuisine, entièrement nue dans ses cuissardes, à la seule lueur des lumières
extérieures. Son corps de nacre est éclairé dans la nuit par la lumière bleutée émanant
du congélateur où elle dépose ses glaçons de sperme et complète son cumcicle des 15 doses
de foutre qu’elle a si chèrement collecté.

La gamine délaisse cuissardes, lunettes et ras le cou dans sa chambre avant de se diriger
dans la salle d’eau. Elle n’en revient pas lorsqu’elle observe son reflet dans le miroir
plein pied de la salle de bain familiale. Ses tétons sont tout rouge et ultra sensibles,
sa chatte imberbe porte, elle aussi, les marques de frottement des nombreuses queues
qu’elle a encaissées toute la soirée. L’adolescente n’ose même pas imaginer l’état dans
lequel doit se trouver sa pastille, surtout après les assauts violents, et pourtant si
jouissifs, dont l’a gratifiée le gros porc moustachu.

C’est, perdue dans ses pensées, qu’Élodie entend soudain bouger dans la chambre en face
de la salle d’eau. L’adolescente a le cœur qui dé et instinctivement, elle éteint la
lumière pour s’immobiliser dans le noir, quasiment aveugle. Seule, nerveuse comme un
animal apeuré, elle n’entend plus que son souffle et n’ose même plus bouger.

Elle imagine
Serge, ou encore pire, sa mère, qui la surprendrait nue, trempée jusqu’aux os, et la peau
rougie par les assauts de sa nuit de débauche.

“Oh merde, la honte s’ils me surprennent comme ça !” A la lumière du flash de son
smartphone, la gamine prend une douche. Elle doit malheureusement interrompre la douce
torpeur que l’écoulement de l’eau chaude procure à sa peau martyrisée, de peur de se
faire surprendre par un des adultes. Finalement, elle profite d’être seule pour couvrir
ses trous martyrisés de Biafine bienfaisante.

Une fois bien réchauffée, et le bonheur retrouvé de se sentir propre, la belle brune
retourne à pas de loups dans sa chambre, nue comme un ver. Une fois le seuil de sa porte
passé, elle se précipite sous la douceur rassurante de sa couette et s’effondre dans les
bras de Morphée, le sommeil inondé de rêves érotiques et pornographiques de tous ces
hommes qui usent et nt de ses trous, et qui se servent d’elle comme d’un vulgaire
saut à foutre.

05h45 – L’alarme de son smartphone retentit dans la chambre rose et blanche.

Lorsqu’elle se réveille après quelques heures d’un sommeil hanté par tous ces mâles en
chaleur, Élodie est couverte de sueur, le corps en chaleur après tous ces songes
pornographiques. Ses tétons pointent, durs comme la pierre et sa chatte béante dégouline
de mouille huileuse et visqueuse. Par réflexe et le cerveau inondé d’hormones de plaisir,
la belle commence à caresser sa vulve traumatisée des assauts de la veille, mais ne peut
se faire du bien, ses chairs encore douloureuses ne lui permettant aucune pénétration.

Incapable de trouver le moindre plaisir, et son estomac criant famine, Élodie écarte sa
couette et se lève pour ranger un peu le bordel qu’elle a laissé à son retour, avant de
rejoindre ses parents pour le petit déjeuner. Nue comme un ver, la jeune fille commence
par aérer sa chambre.
L’air frais de la matinée court sur sa peau lisse qui se couvre
instantanément de chair de poule. Ses tétons traumatisés se durcissent alors que les
premiers bruits du chantier inondent le calme de la ville qui s’éveille.

Élodie ramasse ses fringues éparpillées et les rassemble avec sa toute récente collection
d’objets et autres vêtements liés à sa nouvelle vie de chienne en chaleur. Mais
lorsqu’elle ouvre sa pochette pour récupérer les toys qu’elle avait pris avec elle la
veille, la gamine est dégoûtée ; “Putain quelle bande d’enculés ! Ils ont tout gardé !"

Ses deux sex toys préférés sont maintenant dans les mains de Moussa et de sa bande, qui
doivent sûrement s’en servir pour buriner les orifices des deux pauvres jeunes filles
prisent en tournante dans le squat miteux de Stains. Mais la gamine n’a pas le temps de
se soucier de ses jouets, son ventre crie famine, et elle a besoin de prendre des forces
avant d’aller se préparer pour son entretien.

Elle fouille dans sa nouvelle collection de vêtements et en sort un petit ensemble
nuisette blanche et string. Après avoir couvert son intimité du petit triangle blanc,
elle noue le petit haut échancré d’une simple boucle entre ses deux mamelles tendues par
la fraîcheur ambiante, et sort pieds nus pour rejoindre Serge à la cuisine ; " J’me
d’mande s’kil m’a préparé ce matin ?" se demande la jolie brune en souriant
intérieurement à l’idée d’une nouvelle dose de jute accompagnant ses pancakes.






Quelle déception lorsqu’elle arrive à la cuisine et que son beau-père sort tout juste de
sa chambre, torse nu, le ventre bedonnant débordant de l’élastique de son caleçon tâché à
l’entrejambe :

-Ben alors ? Pas de pancakes ce matin ? Lui sort elle, taquine.

-Oh c’est bon, tu vas pas m’faire chier aussi, non ? Lui répond-t’ il bougon !

"Putain ! L’est pas commode s’matin !" Apparemment le quadra bedonnant n’est pas à
prendre avec des pincettes.
Ne perdant pas de temps en balivernes, il se prépare un café
et rejoint Élodie à la table familiale couverte d’une longue nappe blanchâtre. Comme à
son habitude, il se contente d’allumer la veilleuse de la hotte pour éclairer la cuisine
ouverte sur le salon, et c’est dans l’obscurité relative du matin naissant qu’il
s’adresse à la gamine en s’asseyant à sa place de patriarche en bout de table :

-Viens m’sucer la queue, p’tite salope ! Ta mère m’a d’ja bien fait chier s’matin, j’ai
b’soin de m’soulager !

-Mais je …. Élodie n’a pas le temps de répondre qu’elle aussi a besoin d’un bon petit
déjeuner avant de se préparer, qu’il la coupe sans semonce.

-Fait pas chier toi non plus ! Tu m’vides les couilles ou je convainc ta mère de remettre
ta punition !

"Salaud !" La jeune fille ayant repris goût à sa liberté retrouvée ne veut pas risquer
une nouvelle punition. C’est donc résignée qu’elle s’apprête à passer sous la table, mais
Serge la stoppe en l’attrapant par le poignet :

-Fait moi bander avant ! T’es qu’un saut à foutre, mais j’ai besoin de te désirer pour
prendre mon pied !

Elle glisse sa main libre sur le crâne dégarni du quadra et lui sourit pour lui montrer
qu’elle désire elle aussi sa grosse bite, puis elle se penche au-dessus de son épaule
velue pour lui souffler à l’oreille :

-J’ai envie de ta queue Serge !

Il libère son poignet droit et la gamine en profite pour glisser ses doigts fins le long
du bras musclé et noueux. Elle le caresse du bout des ongles puis descend la main à plat
sur son torse, le long de son bide bedonnant, pour terminer sa course sur le caleçon à
lui caresser un sexe encore tout endormi à travers le coton tacheté.

Serge sent la feutrine du petit haut légèrement transparent glisser sur son dos poilu et
le contact doux de la main sur son caleçon réveille la bête endormie.
Élodie le sent
grossir dans la paume de sa main et se met à lui masser la queue de haut en bas tout en
lui embrassant la nuque, les épaules, le torse. Gourmande, elle lui lèche les tétons et
passe sa main droite sous le tissu pour lui attr la bite à pleine main.

Il soupire :

-Oui c’est ça p’tite pute ! Masse moi bien la queue !

Élodie s’agenouille à côté de lui et glisse doucement sa langue tendue sur la peau du
bide. Sa main écarte l’élastique du caleçon et, tout en continuant de lui branler la
queue, elle dépose un bisou sur son gland odorant des ébats de la nuit avec sa femme.
Loin de rebuter la gamine, les odeurs l’enivrent et la font saliver au-dessus de la bite
à moitié bandée.

L’excitation naissante dans les entrailles de la gamine déclenche une nouvelle vague
d’hormones dans son cerveau soumis à son mâle. Serge sent le souffle chaud de sa belle-
fille envelopper sa grosse tige de chair, puis c’est l’élastique de son caleçon qu’il
sent glisser le long de ses cuisses. Il se soulève un peu et la belle en profite pour le
dénuder complètement, le bout de tissu en chiffon aux pieds de son paternel. L’excitation
gagne aussi le quadra qui passe sa grosse paluche sur la poitrine de la gamine, lui masse
les seins et finit par tirer sur le lacet emprisonnant les mamelles qui bondissent hors
de leur carcan de mousseline.

De sa main libre, il caresse le dos de la belle brune et glisse ses doigts entre les
joues tendues de son gros cul et les humidifie en les plongeant sous la ficelle du string
pour lui masser la chatte déjà luisante de mouille. La pénétration douloureuse déclenche
une vague de chaleur électrique dans les entrailles de la gamine qui plonge sur la queue
tendue pour l’avaler goulument afin d’ la petit cri de jouissance malsaine qui se
répand en elle.

-HUM HUM ….. SLURP ….

Les bruits de fellation humide occupent le silence de l’aube naissante lorsque la belle
se met à lui lécher la queue avec gourmandise, la couvrant de bave gluante et luisante.
Serge écarte les cuisses afin d’inviter la petite salope à se glisser sous son bide.
Élodie accepte volontiers l’invitation et continue à lui prodiguer une pipe gourmande et
humide à genou entre ses cuisses massives et velues.

-SLURP …. SLURP …. FOUIC FOUIC FOUIC

Les bruits humides de bouche baveuse glissant sur le vît de chair se mêlent au
coulissement de la main refermée sur la queue lubrifiée, ce qui finit de tendre les
chairs sensibles du quadra qui bande maintenant de tout son long entre les lèvres
gourmandes de sa belle-fille. Il glisse alors ses doigts trempés de mouille sur les
tétons tendus d’Élodie qui se cambre sous la table lorsqu’il les lui masse et les fait
tourner avant de les pincer violemment, lui arrachant un cri qu’il étouffe en forçant sa
grosse queue au fond de la bouche gourmande en appuyant sur le crâne de la gamine pour
l’empaler sur sa tige.

-Je m’excuse mon chéri, je voulais vraiment pas, j’te jure !

En entendant sa mère s’excuser auprès de son mari, Élodie comprend mieux pourquoi le
quadra a voulu son cri de plaisir et de douleur mélangés. Martine vient d’entrer
dans le salon et s’adresse à Serge alors que la gamine lui suce la queue en gorge
profonde, à l’abri sous la table et cachée par la nappe et la pénombre de la pièce. Loin
de se décontenancer, le quadra empoigne la jeune fille par les cheveux et lui imprime un
mouvement de va-et-vient pour lui faire comprendre qu’elle ne doit pas arrêter de le
sucer malgré la présence de sa mère.

"Il aime jouer avec le feu ce con !" Motivée par l’ardeur du patriarche, Élodie se laisse
submerger par un sentiment troublant d’excitation et de crainte mélangés. Joueuse, elle
profite qu’il libère l’emprise de sa crinière pour le déboucher et le masturber tout en
lui léchant les couilles velues, qu’elle empoigne à pleines mains. Serge renchérit en
écartant un peu plus les cuisses pour lui laisser un meilleur accès à ses bijoux de
famille gonflés et pleins de bon foutre prometteur.

-FOUIC FOUIC FOUIC ….

La belle brune continue de lui astiquer le manche et s’arcboute entre les grosses cuisses
de son amant qui vient d’avancer le bassin. Curieuse, Élodie glisse son visage sous les
bourses qu’elle plaque vers le haut du plat de sa main libre, et elle se met à lécher
l’aine poilue de son mâle.

-GRUMPH ….

-Qu’est-ce qu’il y a mon chéri ?

Élodie se fait une petite idée de la scène lorsqu’elle entend la pompe de la machine à
café au loin. Alors qu’elle est en train de titiller la pastille odorante de son beau-
père tout en le masturbant adroitement sous la table, sa mère a dû se retourner en
entendant le râle sourd de son mari qui a bien du mal à contenir le plaisir qu’est en
train de lui faire vivre sa belle-fille. Il parvient tout de même à articuler une réponse
:

-Nan … HUN …. T’inquiètes, j’me suis juste cogner contre un pied de table !

Pour une fois qu’elle se trouve en position de force, la gamine en profite. Elle lui
lèche le trou, masse ses grosses burnes archi pleines, et branle vigoureusement la queue
trempée de bave du quadra. La peau épaisse de la bite luisante glisse de haut en bas,
imprimant un mouvement similaire à la poche de peau englobant les burnes pleines de
sperme. Alors qu’elle le branle en lui léchant le trou du cul, les bourses pleines
claquent contre le nez retroussé de la gamine.

La jeune fille sursaute lorsque sa mère tire la chaise à sa droite, pour si assoir. Serge
profite du recul de sa suceuse pour l’attr par les cheveux de sa grosse paluche
droite, et il l’empale sur sa teub tendue. Il ouvre un peu le "V" de ses cuisses sur la
droite pour laisser de la place à la gamine qui sent les jambes nues de sa mère la frôler
dangereusement.

De sa poigne forte, il accompagne le mouvement de tête d’Élodie et l’empale de temps en
temps en gorge profonde. Il la maintient quelques secondes pour ressentir les spasmes de
la gorge serrée autour de sa queue trapue. La belle brune doit à tout prix contenir ses
râles lorsqu’elle reprend sa respiration afin de ne pas attirer l’attention de Martine,
et comme pour se venger, elle att la grosse bite gluante à pleine main, et le branle
avec ardeur.

Mais alors qu’elle s’applique à astiquer son paternel tout en lui tétant le gland, la
brunette est surprise par la main de sa mère glissant le long de la cuisse velue à sa
droite. Elle est contrainte de s’écarter et d’abandonner la tige de chair toute humide,
évitant de justesse le contact avec la fine main de sa mère.

Élodie entend alors Martine susurrer à son homme :

-Et si je me faisais pardonner avant qu’Elo ne se lève ? Elle empoigne la bite humide de
son mari ; HEIN ? Comment se fait-il que ton paupaul soit déjà trempé ?

La gamine paniquée à l’idée de se faire découvrir dans sa tenue d’allumeuse, sent son
cœur défaillir lorsque les doigts de sa mère la frôlent. Elle se glisse sur le côté, sa
main gauche en appui sur la jambe de Serge caresse la cuisse de Serge qui frissonne sous
le touché de ses deux femelles.

-Nan mais comme tu m’as pas sucer ce matin, j’avais besoin de décharger un coup …. Donc
je me branlais …. Tu vois ? … Et pis merde tu fais chier ! J’ai pas à me justifier ….
-TSSK TSSK – Ben alors mon gros loup a pas eu son câlin du matin ? Comment est-ce que je
peux me faire pardonner ? …. Et si je te pompais la queue, hein ?

Élodie est sur le point de défaillir, sa mère branle la grosse bite luisante de son mari
sans savoir qu’elle utilise la bave de sa propre fille comme lubrifiant. Après quelques
mouvements de bas en haut le long de la grosse tige de chair tendue, Martine glisse son
cul sur sa chaise pour, de toute évidence, passer sous la table et pomper son homme.

Perdue, confuse, effrayée de se faire découvrir par sa mère en si légère tenue au pied de
son beau-père, l’adolescente essaye en vain de formuler une explication à la situation.
Son cœur est sur le point d’exploser, battant fortement dans ses tempes, et ajoutant à la
confusion de son esprit en ébullition. Comment pourrait-elle expliquer être à moitié à
poil sous la table, à quelques centimètres de la bite humide de Serge ?

La belle brune suit d’un regard absent les cuisses dénudées de sa mère qui se dandinent
sur l’assise de la chaise. Les bras ballants, elle s’apprête à subir le courroux justifié
d’une maman désabusée et meurtrie de découvrir que son second mari la trompe avec sa
propre fille. Alors qu’elle s’apprête à encaisser, Serge la surprend en prenant,
difficilement, la parole :

-Amène ton p’tit cul ici ma chérie ! J’ai besoin de bouffer ta chatte de grosse salope !
-HUM, mais dis-moi, où est-ce que t’as appris à parler aux femmes toi ? Lui répond
Martine, féline.

La pression se relâche soudain dans le cerveau embrumé d’Élodie, une vague d’adrénaline
et d’hormones l’inonde soudain, et un goût de métal surcharge les papilles de la gamine
qui observe, incrédule, sa mère rejoindre Serge toujours assis sur sa chaise.

La jeune fille imagine bien la scène ; sa mère caresse le crâne dégarni de son étalon de
mari et l’enjambe, dévoilant sa féminité en tombant sa nuisette à ses pieds. Serge
empoigne sa femelle par les fesses et l’assoit devant lui, il glisse ses mains le long de
ses cuisses charnues et les écarte largement avant de plonger tête la première pour lui
lécher sa vulve poilue et béante de désir pour son homme. Elle ne le reconnait plus
depuis quelques jours, elle ne va pas s’en plaindre, mais sa nouvelle brutalité primale,
bestiale, lui fait connaître de nouveau niveaux de jouissance.

Alors que Serge se régale des jus vaginaux de sa belle, il empoigne son sein droit de la
main gauche et commence à le malaxer fermement, alors qu’il passe sa main droite sous la
table et att l’adolescente pour les cheveux pour planter sa bouche charnue sur sa
bite encore plus gonflée qu’il y a quelques instants.

« Salop ! » L’idée de pomper la grosse queue de son beau-père pendant que se salopard
bouffe la chatte poilue de Martine déclenche une nouvelle forme de plaisir malsain chez
la jeune fille. Elle est à genou, quasiment à poil, juste en-dessous du gros cul potelé
de sa mère, en train de bouffer la grosse bite tendue de Serge.

Le quadra n’est pas non plus en reste. Il semblerait que la situation le chauffe au plus
haut point. Élodie ne se rappelle pas avoir sucer une bite aussi gonflée, les veines
saillantes glissent sur sa langue, le gland gonflé est tuméfié vibre, gonfle et se tend
entre ses lèvres distendues.

La gamine est joueuse, elle l’aspire et le suce comme jamais personne ne l’a sucé de sa
vie, elle fait coulisser sa main le long de la perche de chair huilée de bave tout en
tétant habilement le bout de son gland. Sa main libre glisse sous les couilles velues et
gonflées, lui soupèse les bourses, et lui titille l’anus du bout du doigt en l’aspirant
goulument. L’adolescente le pompe comme si elle voulait le faire gicler au plus vite, que
sa mère ne puisse pas profiter de la virilité fatiguée de son homme.

« Vas-y papa ! Gicle dans ma bouche de salope ! » SLURP HUMPH HUMPH HUMRRPH La petite
chienne n’a jamais sucer personne avec tant d’ardeur, elle est ravie lorsque le gros
quadra râle en aspirant la chatte de sa femme. Coquine, elle se réjouit en sentant la
grosse bite gonflée vibrer entre ses lèvres. Le gland gonflant est le signe qu’elle
attendait, il est prêt à gicler.

Un sourire imaginaire se dessine dans esprit rotors, elle détend sa gorge au maximum et
plante la grosse masse au fond de sa gorge pour le faire gicler au plus vite. Serge
décide de jouer le jeu de la gamine, mais reste maître de la situation, et la situation
se retourne contre la gamine. Il l’agrippe par les cheveux et plaque le crâne de sa belle
fille contre le gras de son bide, bloquant le petit nez retroussé de l’adolescente dans
ses poils pubiens.

Élodie commence vite à manquer d’air. Comme une conne, elle a oublié de prendre de l’air
avant de l’avaler en gorge profonde. Très vite, sa gorge se contracte autour de la grosse
bite gonflée, et le manque d’air fait paniquer la gamine qui commence à se débattre sous
la table, alors que se vicieux de Serge bouffe goulument la grosse chatte velue de
Martine. « Tu vas m’le payer espèce de p’tite salope ! Tu voulais me bouffer la bite ? Eh
ben bouffe-la ! »

La poigne de Serge est implacable, Élodie essaye de se débattre mais impossible de
l’écarte, même en appuyant de toutes ses forces sur les cuisses puissantes de son beau-
père. C’est sa mère qui la sauve de justesse :

-Prends moi maintenant putain ! Baise-moi comme une chienne avant qu’Elo ne se lève !
*GUAH*
-HUMPH ! Amène ton gros cul de salope ! Tourne toi que j’te baise comme une chienne !

Serge parvient à le râle d’Élodie qui inspire bruyamment, une fois sa gorge
libérée de l’énorme vit de chair enflée et pulsant de sang. Le quadra doit lutter
quelques instants pour réprimer les contractions de sa prostate et ne pas gicler sur le
visage de la gamine avant de se lever.

Il recule bruyamment sa chaise et tire sa femme comme une vulgaire femelle en la
retournant devant lui en un seul mouvement fluide. *CLAC*, il lui claque violemment la
fesse avant d’enchaîner :

-C’est ça petite salope ! Montre-moi ton cul, écarte ces grosses fesses de chienne en
chaleur.

L’esprit encore embrumé par le manque d’air, Élodie a du mal à refocaliser son attention
sur la situation. S’adresse-t’il à elle ou bien à sa femme.

-Oulala ! Eh ben dis-moi mon bel étalon ? T’es en forme ce matiiiiiiinnnnnnnnnnnnnn ….

La gamine entend sa mère pousser un cri stridant, les reins cassés en deux, les seins
écrasés sur le plateau de la table alors que Serge lui appuie sur les omoplates. Il
empoigne sa femme par le gras du bassin, et s’empale d’un puissant coup de reins au fond
de sa chatte gluante mais encore toute serrée.

-HAN HAN HAN ! Martine halète comme une chienne sous les coups de son mari.
-HUMPH GRUMPH GRUMPH ! Les râles de son mari bestial lui font écho, coup pour coup.

Élodie est encore à genoux sous la table, en appui sur sa main gauche tendue, la main
droite autour de son cou fin, bavant sur le sol en reprenant son souffle. Elle essaye de
reprendre pied, mais son esprit est encore gonflé d’endorphines et d’adrénaline à cause
du manque d’air et du stress de la situation.

Comme hypnotisée, elle rampe entre les deux amants. Serge a toujours la main gauche
plaquée sur les reins de sa femme qu’il démonte en levrette puissante et violente, lui
soulevant la cuisse de sa main droite pour la prendre bien en profondeur. Élodie en
profite pour contourner son beau-père et s’installe à genoux, les fesses sur les talons,
les mains fines glissant sur l’arrière des cuisses puissantes du quadra.

Elle se cambre un maximum et aspire les couilles de son beau-père alors qu’il baise sa
femme comme une malpropre.

-GRUMH ! Oh putaiiiinnnnnn !
-Oui ! HAN HAN HAN ! Vas-y mon chéri ! HAN HAN HAN ! Baise-moi comme une
traînééééééééeeee !
-Prends ça salope ! HAN HAN HAN !

La petite brunette écarte les fesses musclées de Serge et glisse sa langue inquisitrice
entre les joues poilues du cul qui pistonne une Martine hurlante de plaisir animal.

Élodie est en transe, et son cerveau, toujours sous le coups de la situation de tension
sexuelle qui occupe l’espace du salon, inonde tout son corps d’hormones de plaisir. Elle
n’a même pas conscience de fouiller le cul de son beau-père. C’est accroupi entre les
cuisses écartées de Serge, les cuisses en feu largement écartées le cul sur les talons et
sur la pointe de pieds, le bras tendu en arrière pour tenir l’équilibre, qu’Élodie
fouille l’anus poilu du bout de la langue.

Gourmande, la gamine aspire goulument les bourses qui se balancent sous son nez. La
mouille abondante de sa mère s’écoule sur sa langue, son menton et termine sa course sur
son pubis en passant entre ses seins tendus sous la nuisette transparente.

Élodie ne peut se retenir plus longtemps, elle glisse sa main libre entre ses cuisses et
commence à se branler en rythme avec les coups de bites qui perforent le vagin béant de
Martine. La mère est maintenue intentionnellement la tête plaquée contre le plateau de la
table pour qu’elle ne puisse pas se rendre compte de la présence de sa fille sous la
table, les bourses pleines de Serge entre les lèvres.

Les claquements du gros bide couvert de sueur sur le cul de Martine, et les odeurs
puissantes de sexe en chaleur tournent la tête à la gamine qui parvient à se faire jouir
en même temps que les beuglements de jouissance de sa mère.

Serge, au bord de l’explosion se retire de la vulve gluante de sa femme et la laisse
éjaculer sa cyprine chaude sur le visage tordu de jouissance d’Élodie. De sa main gauche,
il emprisonne les poignets de sa femme en une double clé de bras tendue dans son dos.
Martine pousse un petit cri de douleur et de soumission confondues :

CLAC

Le quadra assène le derrière de sa femme d’une claque cinglante, tendant instantanément
ses chairs dans un mécanisme animal de défense. Tout en maintenant les bras de sa chienne
bloqués dans son dos pour qu’elle n’ait pas la mauvaise idée de se redresser, et de voir
sa fille, esclave de ses sens, lécher les balloches velues de son homme, Serge att
Élodie par les cheveux pour lui forcer la tête en arrière.

Le tiraillement soudain et brutal a failli arracher un hurlement à la jeune brunette qui
ne doit son salut qu’à la grosse bite du quadra qui étouffe son gri en s’engouffrant
entre ses lèvres charnues. L’adolescent aspire alors la queue trempée de la mouille de sa
mère.

Accroupi derrière le cul ouvert de sa femme, Serge pilonne le fond de la gorge de sa
belle-fille en léchant la chatte ouverte de Martine à grands coups de langue. La mère
gémit de bonheur pendant que sa fille se fait marteler violemment la luette distendue.

Sa bite est maintenant parfaitement bandée et bien lubrifiée d’un mélange de bave et de
cyprine. Il se retire de la bouche gourmande pour plaquer son gland contre la pastille
encore serrée de sa femme. Martine essaye de se débattre pour éviter la sodomie, mais la
clé de bras l’empêche de bouger. Inquiète de réveiller sa fille si elle se met à gueuler,
et n’ayant aucune envie de se faire surprendre en train de se faire déboîter sur la table
commune, Martine détend ses muqueuses anales et s’apprête à encaisser les coups de
boutoir.

HAAAAANNNNNNN !!!!!!!!

La mère d’Élodie ne peut réprimer un long gémissement de douleur mêlé à l’excitation
d’assouvir les besoins et les désirs de son homme. D’une longue poussée, puissante et
brutale, Serge se plante dans le cul de sa femme jusqu’à la garde.

-HUMPH, putain t’as le cul ultra serré, salope !
CLAC ! CLAC !

Le quadra assène deux fessées cinglantes à son épouse qui se cambre et crispe ses chairs
anales autour de la grosse bite tendue et parcourue de grosses veines saillantes par
l’excitation de baiser la mère et la fille.

-HAN HAN HAN ! Tiens prend ça ma salope ! CLAC ! HAN ! CLAC ! HAN !

Il souligne chaque pénétration profonde d’une fessée violente, Élodie s’amuse à imaginer
la fesse rosie de sa mère et se plante deux doigts dans le cul qu’elle pistonne en rythme
avec son amant tout en reprenant l’aspiration de ces grosses couilles ballantes et qui
ont doublé de volume à produire de nouvelles doses de foutre.

La gamine n’en peut plus, en sale gamine capricieuse, elle veut sa dose maintenant. La
petite vicieuse sourit intérieurement, elle vient d’avoir une idée. Les râles de Serge ne
lui font aucun doute, il lutte pour ne pas gicler maintenant, c’est qu’il est à point et
qu’un rien peut déclencher l’explosion qu’elle convoite.

A défaut de se faire défoncer par cette belle bite, elle relâche la pression de ses
lèvres autour du sac à foutre et commence à le caresser du bout des doigts tout en
léchouillant l’aine qui oscille au-dessus de son petit nez retrousser. Sans crier gare,
elle plante le bout de sa langue dans l’anus poilu et le titille, gourmande, tout en lui
caressant les couilles.

Son calcul est le bon, le trou odorant se contracte autour de sa fouineuse de langue ;
Serge ne peut plus se contenir. Il se retire et gicle une première dose massive de sperme
bouillant et gluant entre les fesses de sa femme qui gémit de bonheur et de surprise. Le
quadra fléchit alors un peu des cuisses et offre sa bite puante à sa belle-fille.

Élodie ne se fait pas prier, et, assise en tailleur sous la table, les doigts pistonnant
sa pastille ultra-sensible, elle aspire le gland odorant et lézardé entre ses lèvres
charnues pour le téter comme un bébé tète son biberon. Dans un râle sourd, Serge se vide
enfin les couilles dans le conduit chaud et aspirant de sa gamine. Il gicle quatre
nouvelles doses de jute pâteuse qui explosent entre les joues de l’adolescente, qui les
avale sans demander son reste.

Il se retire soudainement de la bouche si accueillante et explose deux dernière doses sur
les reins de sa femme, afin de lui donner le change. Martine tortille du cul en sentant
le liquide séminal s’écouler le long de son dos cambré.

Exténué, Serge se vautre sur sa chaise, relâchant les bras de sa femme, et les cheveux de
sa fille. Encore sur un petit nuage, Élodie a du mal à retrouver ses sens, mais les
mouvements de sa mère au-dessus de son visage écarlate et zébré de foutre la ramène sur
terre. Elle se précipite sous la table, juste au moment où sa mère se redresse, se
retourne vers son mari et lui caresse le torse du bout des doigts avant de se retirer :

-Je vais sous la douche, si Monsieur est assez en forme pour un deuxième round !

La jeune fille est encore tout à son excitation sous la table lorsque sa mère s’éloigne
du lieu de ses ébats. Elle est assise en tailleur sous la table, à se soulager la chatte
tout en se pinçant voluptueusement les tétons, les doigts englués de foutre
refroidissant.

D’une poigne de fer, Serge écarte la table et découvre la gamine, les cuisses écartées,
la peau luisante d’un mélange de sperme et de cyprine, sous la lumière diffuse du soleil
levant, les doigts pistonnant sa chatte engluée.

Ne voulant pas la déranger dans son extase, il l’att par les cheveux, et enfourne sa
queue mollissante entre les lèvres. Les yeux dans le vague et mi-clos, la jeune fille
aspire d’un instinct gourmand le morceau de chair flasque :

-Fait moi bander p’tite pute ! Faut que j’aille défoncer ta chienne de daronne !
MWAC HUMPH HUMPH HUN HUN ….

La gamine rassasiée de sperme dense se fait du bien, les doigts glissant entre les chairs
gonflées et gorgées de sang et de plaisir. Elle sent la gros tige molle reprendre vie
contre son palais. Elle ne peut presque plus l’engorger lorsque Serge l’att des deux
mains plaquées sur ses tempes et commence à lui pistonner la gorge.

-Oh putain, mais t’es une vraie salope toi ! Mais c’est pas tout ça, j’ai une paire de
trous à colmater maintenant.

Et sans autre forme de procès, il se retire de la bouche gourmande et rejoint sa femme
sous la douche, laissant une Élodie bouillante et désabusée, nue et haletante, en chaleur
et frustrée au milieu du salon empestant le sexe et la luxure.




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Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd

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